Pogo, Uro, Varan, taky

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Pogona vitticeps, Agame barbu

Ce saurien aussi appelé Dragon barbu fait parti de la famille des Agamidés, sous-famille des Agaminés, du genre Pogona.

Il est protégé par la convention de Washington. En plus, l’Australie a interdit totalement l’exportation, ce qui signifie que tous les animaux vendus en animalerie spécialisée sont nécessairement issus d’élevage.

Les Agames barbus sont des animaux semi arboricoles, il faudra donc leur fournir de hauteur. Un terrarium de type aride de 120*60*60 sera le strict minimum pour un couple adulte. Il sera muni de nombreux perchoirs où vos protégés adoreront se prélasser tout au long de la journée. On y ajoutera des cachettes au sol, et d’un bac d’eau assez grand car certains spécimens apprécient les bains occasionnels. On utilisera du sable fin (les grosses granulations type quartz peuvent entraîner un occlusion intestinale fatale à l’Agame) ou des éclats de bois en guise de substrat. Les tapis seront à éviter, car pouvant jouer un effet « garrot » si une fibre s’enroule autour d’un doigt aboutissant à l’ablation de ce dernier. Les pallis de cèdre seront aussi à bannir, car la résine et les fortes odeurs s’y dégageant peuvent être très néfaste à la santé du lézard, ce qui entraîner la mort du lézard.
Il devra y avoir une zone froide (28°C), et une zone chaude (40°C) avec une branche qui permettra à l’animal d’atteindre ce point chaud. La température ambiante sera de 35-37°C. L’hygrométrie sera faible, 40% environ.
La nuit, les températures redescendront à 22°C.
Pour cela, il faudra un néon UV (8.0 -10.0) et une lampe chauffante, ou une lampe forte puissante UVA-UVB type Powersun ainsi qu’un chauffage de nuit faible (cordon chauffant, tapis,…).

Ce lézard a un régime omnivore : insectes (grillons, criquets, blattes, teignes, etc..), souriceaux, végétaux (pissenlit, trèfle, luzerne, mangue, papaye, choux,…) et autres granulés spécifiques.
Juvénile, ils accepteront peu les végétaux, mais au fur et à mesure de leur croissance, la quantité de végétaux sera augmenter jusqu’à avoir 80% de végétaux et 20% d’insectes/ souris et autres granulés. Il faudra saupoudrer la nourriture avec du calcium, une fois par semaine env. (un trop de calcium peut entraîner de graves troubles rénaux) et de compléments vitaminés 1 fois tout les 15jours.
Ou alors, laisser dans le terrarium des fragments d’os de seiche surtout pour les petits.
Les proies ne devront pas dépasser la taille de la tête car pouvant entraîner d’une simple régurgitation à une paralysie du train arrière.


Ma femelle Pogona vitticeps NC chez moi Sunburst X Sand fire au plus grand plaisir de Pogonamazone cette fois en photo de bonne qualité
Cette petite est pas mal présente dans cette section ...
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Varanus Exanthematicus, varan des savanes

Le varan des Savannes fait parties de l'Infra-Ordre des Platynota ( Genre Helodermatidae, Lanthanotidae et Varanidae ). Ce dernier fait donc partie du Genre Varanidae, de la famille des Polydaedalus ( Varans Africains ) .

Ce varan, completement atypique, presente un corps robuste, des membres puissant munis de griffes lui permettant de creusé. La téte est carré et étroite, le museau est court. Les narines sont située a mi chemin entre les yeux et le bout du museau. La queue est courte et ne représente que 1:2 de la longueur total de l'animal. La couleur nominal reste le Brun/Gris avec des oscelles nettement marqué de couleur clair. Les coloris peuvent changés, avec differentes nuances, celon l'origine Geographique, mais ces differences sont aussi rencontrés entre individus de méme couvées. La taille adulte varie entre 80 et 100 cm ( LT)

Il est preferable de logé un couple de Varanus Exanthematicus dans un enclos mesurant 3M carré et 1 métre de haut, cependant, un terrarium de 150/80/70 peut tout a fait convenir pour un individus. Les systeme Chauffant permetront d'atteindre une temperature ambiente de environs 25-30°c , environ 45°c sous spots et 22°c la nuits (valeurs donnés a titre indicativs ). L'éclairage sera obtenue a l'aide d'un néon UV diffusant 5.0% d' UVB; cependant, comme pour tout les Varanidés, il est preferable de fournir un éclairage de bonne qualité de lumiere par le moyen de spots HQI-HQL et tube néon spéciaux ( delivrant environ 6500 Kevin ), dans ce cas, il faudrat prevoir ne source d' UV par le moyen de spot prevus a cet effet. Le substrat sera de type sec ou humide ( eclat de Hetre ou de Pin ) les mélanges sont aussi trés judicieux ( hetre+ sable, pin+ tourbe ). Fournir a notre varan, la possibilité de se caché et de grimper ainssi qu'une eau saine chaque jour.

Ce varan est insectivor mais ne efusant pas les prise de jeunes oiseaux ou escargots. Les rongeurs ne faisant pas partis de son régime alimentaires ( ces derniers peuvent étre offert en "dépannage" mais on de réels effets néfastes sur l'animal a long thermes ) .















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Takydromus sexlineatus, Lezard à longue queue

Petit lézard diurne de la famille des Lacertidae découvert en 1802 par Daudin, son habitat d’origine se situe vers l’Asie du Sud-est. Du rostre au cloaque cet animal mesure environ 5-6 cm, mais la queue atteint environ 20-25 cm. Il vit en moyenne de 3 à 5 ans. On peut également noter qu’ils possèdent une langue bifide.

Les Takydromus sexlineatus sont de petits lézards. Ils font environ 5-6cm du rostre au cloaque et possèdent une queue extrêmement longue atteignant 20-25 cm. Ainsi l’individu adulte atteint environ 25-30cm. Ils ont le ventre blanc et un dimorphisme sexuel peut être observé. Les femelles ont le dos brun clair et les flancs très légèrement plus foncé. Les mâles quand à eux on les flancs plus sombre, et des point blanc peuvent apparaitre sur leurs flanc. On peut également observer 2 lignes blanches parcourant le dos de l’animale. Toujours concernant le dimorphisme, le mâle à la base de la queue plus épaisse que la femelle.

Le terrarium devra être de type tropical, à tendance arboricole. J’élève les miens dans un exoterra de 60/45/45 (en cm, longueur/largeur/hauteur), et on peut y accueillir facilement un trio ou un quatro. Cependant cette espèce étant territoriale, ne pas mettre deux mâles ensemble.
Le terrarium devrait avoir de nombreux feuillage afin d’avoir des cachettes, et plusieurs branches entremêlées afin de leurs permettre de se déplacer à leurs aise. En effet ils restent plutôt en hauteur, même si on peut les voir arpenter le sol du terrarium de temps à autre.
Comme substrat j’utilise un mélange de reptibark et de terra coco. Esthétique et qui conserve bien l’humidité. Ce substrat devras bien sur être à tendance tropical, éviter les copaux de hêtres qui ne résistent pas à l’humidité, et les copaux de cèdre qui dégagent des vapeurs toxiques.
Un bac d'eau, voir un aquaterra est conseillé, les Takydromus apprécient l'eau.











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Uromastyx dispar maliensis, Fouette queue ( malien ) ?

Les dimensions du terrarium varient selon la taille et l’âge des animaux.

Les couples reproducteurs de taille moyenne (U. acanthinura, U. d. maliensis, 35-40 cm environ) ainsi que les petits groupes (3 ou 4 individus) d’Uromastyx de petite taille (U. ocellata, 30 cm maximum) ou de taille moyenne (U. o. ornata, U. geyri, 35 cm environ) sont logés dans des terrariums qui ont une surface au sol de 100 x 100 cm ou 180 x 50 cm.

Les deux groupes de 3 individus U. a. aegyptia, Uromastyx de grande taille (70-75 cm maximum) sont logés dans des terrariums de 200 x 100 cm.

Un groupe de 8 individus U. hardwickii (35 cm environ) est logé dans un terrarium de 200 x 100 cm.

Les juvéniles (20-25 cm) sont logés seuls dans des terrariums 100 x 50 cm.

Quand cela est possible, une bonne profondeur sera privilégiée car Uromastyx se sent plus en sécurité s’il a du recul par rapport à l’"extérieur".

La hauteur des terrariums varie entre 50 cm et 60 cm. Ceci permet d’aménager, grâce au décor (souche, écorce de liège…), un endroit près du tube néon (30 cm maximum), là où les lézards peuvent profiter du rayonnement UVA et UVB. Généralement, Uromastyx ne grimpe pas sur les branches, sauf U. ocellata et U. o. ornata, ou les juvéniles.

Sur les côtés du terrarium ou au plafond il y a des aérations grillagées (mes terrariums sont en bois sur les trois côtés, avec des vitres sur glissières devant) qui permettent un changement d’air suffisant et empêchent la surchauffe du terrarium.

Sur un côté du terrarium je mets un spot de 60W (ou une lampe à vapeur de mercure mixte de 160W pour les terrariums 200 x 100 cm) à 20 cm du sol et avec une pierre plate au-dessous de manière à créer un point chaud qui atteint 45 à 50° C. Au point le plus frais, au côté opposé, la température sera de 28° C environ. Un bon gradient thermique est très important car il permet à l’animal de régler sa température interne par des adaptations comportementales. Ainsi qu’il le fait dans le milieu naturel, Uromastyx se chauffe, le matin, par rayonnement en se dressant sur les pattes antérieures, le dos vers la source de chaleur. Cependant, en captivité on peut souvent observer l’animal se chauffer aussi par conduction en s’aplatissant sur la pierre situé sous le spot. Quand il a atteint sa température optimale il s’éloigne de lui-même vers le point le plus frais du terrarium. S’il n’arrive pas à baisser suffisamment sa température interne [c’est-à-dire si celle–ci reste supérieure à 39° C en milieu naturel (Grenot, 1976)], Uromastyx manifestera son état par une ventilation rapide en ouvrant la bouche (polypnée thermique), ce qui représente un moyen de refroidissement par évaporation bucco-pharyngée (Grenot & Loirat, 1973).


Pour plus d'information, n'hesitez pas à vous rendre sur le site de l'association d'Olivier Antonini :

http://www.bebesaurus.com/







( Photo prise dans son terra finale, cependant, etant trop jeune, il n'y est pas encore. )